François Villon, le génial trublion

Cette histoire a une histoire. 
Même deux.

D'abord Villon, qui ne me passionne pas.
Je reconnais et apprécie sa verve et son génie dans l'utilisation de la langue française et des jargons de son époque. 
Je déteste le comportement servile et opportuniste d'un voyou assassin se servant de son talent pour sauver sa couenne.
En la circonstance, il me sert de prétexte ;

 

La "ballade pour ne rien dire",  pastiche villonesque de "la ballade des-contre-vérités" a été élaborée dans les premiers mois de 2022, en réaction aux propos échangés entre partisans du report à l'année suivante de la réunion traditionnelle de "la classe", et partisan (sans "S") de son maintien. J'ai un peu édulcoré mon texte initial.
La réunion s'est finalement tenue.
Et Bébert a eu sa surprise.